Je suis née un beau jours d'été à Tokyo, dans un grand hôpital reconnue par leur personnel très professionnel. Je vais vous épargner les détails de l'accouchement et tous le bla bla inutile, mais sachez que ce jours fût le plus beau jours de ma mère, mon père souhaitais un garçon. Je ressemblais à tous les bébé de cet âge mais je devenais vite la beauté que je suis aujourd'hui. Mon père qui est directeur d'un des hôtels les plus connu du Japon, n'était pas très présent étant bien trop occupé avec son travail. Ma mère qui est directrice d'une grande entreprise de mode était bien plus présente pour moi. Elle tenait à se que je devienne la fille parfaite dont elle rêvait tant afin de pouvoir se vanter devant ses amies. Ma mère n'était pas heureuse de ma naissance parce que j'étais le plus beau cadeau de sa vie mais plus parce qu'elle avait besoin de moi pour sauver sa fierté. J'ai donc grandis en compagnie de ma mère qui veillait attentivement à mon éducation. Elle s'était engagé à me faire devenir la fille parfaite dont elle rêvais tant.
C'est à l'age de 4 ans que tout à commencé. Etant fille unique, je ne devais pas échouer. Elle m'avait expliqué l'importance de l'image de notre famille, sa réputation et mon devoir en temps que fille d'une riche famille. Je me souviens avoir hoché la tête en lui promettant de faire de mon mieux même si je ne comprenais pas vraiment ce dont elle me parlait. Elle avait engagé des professeurs de différents spécialité afin de m'apprendre plusieurs choses essentielle pour devenir cette fille "parfaite" tel que: manger comme une riche, tenir correctement les couverts, se tenir droit, marcher comme une mannequin... Je n'avais pas beaucoup de temps pour jouer avec mes amis et ma mère m'interdisait pour certains de les fréquenter à cause de leur statut social inférieur aux notre.
Vers l'âge de 10 ans, ma mère m'a envoyé à Los Angeles pour étudier et apprendre la langue. Seul mon père m'avait contacté pendant ce temps, c'est ainsi que je me suis rapproché de lui. Je vivais seule dans une grande maison sous la surveillance d'un majordome. J'ai été inscrit dans une école reconnue pour ses bons résultat mais je n'ai pas eu la chance de me faire des amis à cause de la présence continuelle de majordome qui les intimidaient beaucoup. Je me suis acheté un piano afin de faire passé le temps c'est ainsi que j'ai commencé à en jouer.
Vers l'âge de 13 ans je suis retourné au Japon après 3 ans de solitude. Tous ce qui intéressait ma mère était ce que j'avais appris, si ma culture général s'était agrandit. J'ai de suite été inscrit dans une nouvelle école toujours sous la protection de mon majordome. Ma mère commençait à me parler de business afin que je puisse en apprendre plus sur son entreprise dont je serais l'héritière plus tard. Je n'avais plus beaucoup de temps pour moi, après l'école j'avais rendez-vous avec elle pour étudier son entreprise. Autant vous dire que le poids sur mes épaules devenait de plus en plus lourds et infernale à porter. C'est pour cette raison que je passais ce stress sur la nourriture au point de devenir une petite fille toute rondelette. Je fût la moquerie de certains de mes camarades et je fût également la honte de ma mère. Elle ne me sortait plus et ne me présentait plus lors des banquets. Elle m'ignorait complètement. Heureusement que mon père était là pour moi. Même s'il n'était pas présent à la maison il prenait le temps de me parler aux téléphones et de sortir manger avec moi. Je réalisait de plus en plus que mon père m'aimait honnêtement alors que ma mère m'utilisait pour son bien.
A l'age de 15 ans, j'ai décidé de changer. Je devais me reprendre en main. Après avoir subit toute sorte de persécution tel que des tague sur mon casier, des papier collé sur mon dos, des mots dans mon casier, des rumeur écrit sur le tableau, j'ai décidé de ne plus être la personne persécuté mais celle qui persécutait. Mon père m'a envoyé en Amérique, dans un établissement spécialisé sur l'obésité afin de suivre un entrainement intensif et perdre du poids très rapidement. Je me suis privé de tous, je suis devenue boulimique et je mangeait très peu. Après 3 mois et 1 semaine je pouvais dire bonjours à une silhouette de rêve. Je suis retourné au Japon et étrangement, lorsque ma mère m'a vue, elle est redevenue présente, mais ce qu'elle ne savait pas c'est que j'avais changé. Je n'avais plus besoin d'elle, seul mon père me suffisait. Je me suis coupé les cheveux, je me les ai teint et je me suis forgé une armure en pierre afin de devenir cette personne, froide, hautaine et prétentieuse que je suis aujourd'hui. J'ai commencé à étudier durement au point de devenir une élève modèle toujours rangé dans le top 3 de ma classe et top 5 de l'école. J'ai commencé à avoir un but, surpassé ma mère. Je devais devenir meilleures qu'elle. Mon père m'a inscrit dans une école privé nommé Wolgham, une école prestigieuse reconnue. J'ai alors commencé ma seconde.Je me suis vite intégré dans un groupe de fille qui se considère comme mes amies. J'étais l'une des petite fille modèle de cette école. Toujours connue pour ma douceur, ma beauté et mes notes élevé, j'étais l'une des chouchoute de l’école que ce soit aux yeux des autres filles ou aux yeux des professeurs.
Au jours d'aujourd'hui, je suis toujours en seconde. A cause de ma boulimie, je suis devenue malade et je perdais beaucoup trop de poids, j'ai donc été régulièrement suivit au point de raté la moitié de mon année de seconde ce qui m'a poussé à la repasser cette année. Toujours focalisé sur mon poids, ma maladie est toujours présente. Alors que je revenais d'une hospitalisation de plusieurs jours, j'ai découvert que notre école allait fusionné avec une école privé de garçon. La directrice de Wolgham tenait particulièrement à m'y envoyer, comptant sur moi pour améliorer au maximum cette école. Cela ne me déplaisait pas vraiment mais lorsqu'on m'a présenté les lieux, j'étais plutôt choqué de l'état dans lequel ils avait mis leur établissement. G^race à mes gout de luxe et développé j'ai été chargé de rénover chaque lieux afin de donner à cette école une nouvelle image d'elle même mais ca n'as pas vraiment plus à certains.