Parler c’est bien beau sauf que son genou appuyait quand même plus fortement contre l’une des parties importante de mon corps « Il est dommage qu’elle reste vide tu as raisons » grimaçant je me dégage doucement relâchant ma main qui emprisonne la sienne. « Bon monsieur le policier, allez vous laisser partir la gentille voleuse de gâteaux » ma main abaisse doucement ce qui fait emprise sur mon entre jambe avant de m’avancer plus vers elle « Je suis sur que ça peu s’arranger » ma main se glisse doucement le long de sa cuisse dépourvu de tout tissus affichant un léger sourire au coin des lèvres.

Je m'attendais à ce qu'il me laisse partir, sans plus de mots échangés. Après tout l'heure était pas mal avancé maintenant et puis jusqu'à maintenant on avait toujours garder une certaines distances même si nos jeux avaient parfois franchit certaines limite depuis toute cette histoire ça n'avait pas été le cas. Donc je m'attendais simplement à un cesser le jeu de nos petit jeu, remonté pour allé me coucher puis basta. Pas que ça me dérange parce que j'adore mon lit douillet et confortable, même si j'avoue que la présence du jeune homme aurait tendance à me manquer une fois sur place. Je le sentis venir poser sa main sur mon genoux, histoire de tout doucement enlevé tout danger pouvant venir menacé ses parties intimes. Par contre, la suite je ne m'y attendais mais alors pas du tout. Je sentis sa main venir tout doucement parcourir la peau de ma cuisse... Là j'avoue être un peu prise au dépourvue. Je ne savais pas non plus comment trop réagir. Il faut dire que tout à l'heure déjà avec le bisou ça m'avais donner des envies bizarre. Mais là, si il se met à toucher des zones sensibles ça va pas le faire. J'aurais bien aimé avoir quelque chose à dire, à répliquer sur le champs, quelque chose qui me permettrais de me tirer de la au plus vite. Je sentais sa main monter de plus en plus sans vouloir s'arrêter. Malheureusement, ce geste, le sentir effleurer ma peau me donnais des frissons que j'aurais préférée ne pas avoir. L'attirance que j'avais pour lui n'avait jamais désemplis. Et là, j'avoue qu'elle était plus forte que jamais surtout dans un moment comme celui-là. Ma raison me crier d'arrêter tout ça tout de suite, c'était pas la meilleure chose à faire en ce moment. Malheureusement, c'est pas encore aujourd'hui que je vais écouter ma raison! Je vins donc chercher ses lèvres, les capturant pour un baiser plus que passionné, où pouvais se sentir la frustrations de toutes ces dernières semaines où rien n'avaient pus se passer alors que l'envie était bien là. Mes mains commencèrent à redécouvrir son torse et son dos, ne pouvant retenir ce besoin de contact presque vital que je ressentais.

Je ne pensais pas que les choses tourneraient comme ça. Mais c'était venu d'une pulsion totalement incontrôlable. D'habitude, je tenais mieux à la provocation physique, mais là c'était pas du tout le cas. Je n'avais pas envie de jouer au fond, je n'avais pas envie d'éternel provocation. Je voulais simplement en arriver là où on s'était interdit d'allé depuis un moment déjà. Je trouvais ça juste stupide de se priver de bonnes choses sans conséquences grave. Après tout comment reproché à des fiancés de se laisser allé à leur plaisirs charnelle ensemble? Impossible. Même si tout devait devenir compliqué à partir de là, eh bien soit que ça se passe, mais j'en doute. Je savais que Yong Dae n'était pas du genre à se prendre la tête, à trop réfléchir. Il allait prendre sa comme une envie subite sans conséquence ni question à se poser sur l'avenir. Peut-être que notre relation allait de nouveau évolué avec tout ça qui sait. On se laissera peut-être l'occasion de se toucher d'avantage, de laisser nos pulsions prendre le dessus quand on n'en avait envie, sans pour autant parler de sentiments.

Je ne savais pas trop quelle serait exactement sa réaction suite à ça, même si il était du genre esprit ouvert, il était tout à fait plausible qu'il me repousse et je le comprendrait même si j'avoue que ça m'embêterais un peu. Et finalement, ce ne fut pas le cas du tout. Les baisers s'échangèrent sans fin, quand à ses mains elles vinrent soulever ma nuisette jusqu'à effacer totalement son existence de sur mon corps. Mes mains, elles, continuais leur parcours le long du corps du jeune homme. Les descendants de plus en plus bas jusqu'à entrer en contact avec le tissus de son boxer qui était trop gênant à mon gout. C'est donc rapidement que je l'aidais à se débarrasser du vêtement pour laissé nos deux corps se toucher librement sans aucune barrières. Mes lèvres restaient désespérément accroché aux siennes, ne volant pas rompre cette échange pas trop délicieux à mon goût.

J'aimerais arrêter là, ne sachant pas vraiment dans quoi je m'embarquais encore à agir de la sorte. J'avais peur que ça ai un impact quelconque par la suite même si je savais que pour lui ça n'en aurait pas. Je n'aimais pas ne pas comprendre les choses, et là je ne comprenais rien à rien sur mes motivations, sur tout ce qui pouvais me pousser vers lui de façon presque constante. j'aimerais pouvoir dire que ce n'était qu'une attirance physique, je suis quasiment persuadé qu'il y a quelque chose de plus que ça, même si croyez moi j'adorerais me tromper sur ce coup là. Mes caresses ne cessèrent pas, ayant toujours ce besoin vital de contact avec lui. Ses baisers embrase ma peau alors qu'il en parsemme un peu partout sur mon corps. Je retrouve cette sensation de bien être particulière que j'avais déjà ressentit la seule et unique fois où nous avions eu ce rapport charnel le jour de notre première rencontre. Et je n'étais pas mécontente de retrouver ce sentiments, il n'y a vraiment rien d'égalable. Je sens ensuite ses lèvres se poser sur ma cuisse, avant de continuer son chemin vers mon intimité. Lorsque je le sentis venir jouer à ce niveau là, je ne pus m'empêcher de tenir le drap se trouvant sous ma main, comme un besoin de ça pour rester connecté à la réalité. Il savait y faire c'est indéniable. Je savourait chaque secondes de ce moment, ne pouvant empêcher des gémissement de plaisir de franchir la barrière de mes lèvres.

Mon corps se mit à se cambrer tout seul, sans que je n'ai plus aucun contrôle sur lui. Il se laissait allé au gré des plaisirs procurer par celui qui était devenu mon fiancé. Sublime délire d'une union qui parait si évidente et pourtant qui ne l'est pas. Qui à dit que la vie était simple? Surtout pas moi. Mais en revanche ce que je sais, c'était que ça, ses moments sensuelles et de voluptés en sa compagnies l'étais. C'était comme naturel, sans prise de têtes, sans questions, juste laissé guidé par un instinct primaire voir plus que ça. Mais encore une fois je devrais penser bien moins. Et puis ce n'est pas comme si mon cerveau me le permettait encore, bien trop embrumé par les sensations de bien être et d'excitation constantes procuré par Yong Dae à mon corps totalement démuni, à sa mercis tout entière. Mais malgré l'aspect péjoratif que celà puisse avoir de l’extérieur, ça ne l'était pas du tout bien au contraire. Je m'offrais volontiers à lui, prête même à le supplier de me faire l'amour dans l'instant tellement le désir qu'il avait fait monté en moi était grand. Une énorme frustration se fit sentir en moi quand il arrêta son activité entre mes cuisses, même si ses baisés le long de mon corps me procuraient toujours autant de frissons. J'en voulais plus, bien plus. En temps normal, je me serait sûrement détester d'être autant à l'appel de quelqu'un, presque suppliante qu'il achève son oeuvre, mais pas avec lui étrangement. Je devrais élucidé ce mystère plus tard. Pour le moment, il se contenta de se coller à moi, se frotter un peu. Il essayait peut-être de faire monter la température, sauf que de mon côté c'était déjà plus que je ne pouvais en supporter. Dans un mouvement très habile je le poussais sur le côté me positionnant sur lui dans un même mouvement. Venant chercher ses lèvres pour les dévorés littéralement, j'en profitais par la même occasion pour unir nos deux corps, entament sans plus attendre des ondulations du bassins afin de faire venir le plaisir.

Ayant totalement laissé tombé toute inhibition et sentiment de culpabilité avec lui, je me contentais simplement de me laisser allé au désir et au plaisir de nos deux corps unis l'un à l'autre pour un nouveau moment de jeux intense entre nous. Oui encore, car il ne fallait pas oublier que ce n'était pas notre première fois. Il y a quelque temps de celà, alors que nous étions de parfais inconnus l'un pour l'autre, guidé par un je ne sais quoi, nos deux corps avaient déjà valser dans les méandre du plaisir ensemble. Moment unique que je n'avais pus oublier. Même encore aujourd'hui je pouvais me souvenir de chaque détail des heures que nous avions passé ensemble, de la force et de la douceur de ses mains, du goût de ses lèvres, de sa peau, de l’exaltation ressentit... Tant de choses que je retrouvais encore une fois cette nuit. C'était similaire tout en étant différent. Nous n'étions plus de simples étrangers, mais notre relation étaient très compliqué et jusqu'à maintenant on avait toujours essayer d'éviter de se rapprocher, fait exprès ou non c'était pourtant le cas. Je sentis donc l'envie monté en moi bien plus vite et de manière bien plus forte que la fois précédente. Mais là, je comprenais le pourquoi du comment. Je savais que cette attirance envers lui n'avais cesser de croitre ses dernier temps, plus j'étais près de lui plus tout ça augmentais, même si j'avais essayé de me le cacher à moi même j'ouvrais les yeux maintenant. J'ai toujours eu envie de lui, mais je m'étais toujours interdit de faire quoi que ce soit. Alors là, mon corps rattrapait toute cette frustration qu'il s'était infligé en n'obéissant pas à ses désirs, en voulant resté aveugle à tout les appels. Je n'avais donc pas tenu longtemps à ce petit jeu de provocation qui s'était encore une fois établie entre nous. Changeant de position j'avais pris les rennes, les choses n'allant pas assez vites à mon gout. Je savais que si je le laissais faire il me ferait languir d'avantage, et là j'étais dans un état d'excitation tel que je ne pouvais même pas envisagé cette option, j’aurais limite pus le violé! C'est donc ainsi que j'avais unis de façon définitive nos deux corps. Mes coups de bassins, mes déhanchements, se faisaient doux au début, lent avec des mouvements prononcés. Plus le temps passaient, plus ses derniers s'accéléraient, mes mains parcourant le torse et le dos du jeune homme, goutant à ses lèvres chaque fois que j'en avais l'occasion. Finalement, il finit par reprendre le dessus, et je me laissais volontiers faire, le temps de pause entre les deux était quasi nul à mon grand plaisir. Je ne voulais surtout pas qu'il arrête, pas maintenant, je crois que j'étais bien partit pour en réclamé pour des heures là. Bon n'exagérons rien, mais en tout cas j'en voulais plus, bien plus. Heureusement, Yong Dae me donnait grande satisfaction. Ses coups de bassins fort et précis me donnait un plaisir intense que j'aurais cru ne jamais ressentir de nouveau. Il est je ne le cache pas le meilleur des amants que j'ai eu jusque ici. Raisons supplémentaire qi attirait surement encore plus mon corps vers lui. Il avait ce je ne sais quoi dans ses mouvement qui me procurait une sensation étrange mais très agréable, me faisant gémir sans que je ne puisse me retenir. Mon corps se tendais sous ses assauts, je me mordais la lèvre pour ne pas gémir encore plus fort. Un instant, il prononça mon nom et s'en suivit quelques mots, enfin un seul, un simple "je" remplis d'interrogation surtout qu'il n'était poursuivie de rien d'autre. J'avais donc un doute, je me posais des question de mon côté, qu'est-ce qu'il pouvait bien avoir à me dire dans un moment pareil? Je n'osais espérait rien de bien positif, ayant trop peur de me faire des illusions qui me ferait souffrir par la suite. Je n'insistait donc pas et fit comme si je n'avais rien entendu. Enfin, quand j'ai cru qu'on en était arrivé à la fin de ce voyage ensemble, il se stoppa net et sortit de moi, m'invitant à changer rapidement de position. Je me retrouvais dos à lui. Encore une fois il ne mis pas longtemps à reprendre les choses en main. Il unis de nouveau son corps au miens de façon rapide. Son corps rapidement collé au miens, je frissonnais de toute pars en sentant ses mains parcourir mon corps, brûlant du désir et plaisir qui le consumait au fil de ses accouts. Lorsque ses coups de bassins se firent plus intenses, je compris que cette fois c'était bel et bien la fin de notre union charnelle. Je profitais donc de ses dernières minutes qui me firent, avec bonheur, atteindre un orgasme comme j'en avais rarement eu. Mon corps jusque là tendu se relâchait petit à petit. Je vins rejoindre le jeune homme en position allongé, essayant de reprendre mon souffle. Mes yeux fixé sur le plafond je ne savais pas trop comment interpréter ce qui venait de se passer. "Hm.. Je crois que cette fois, le jeu à légèrement dérapé."

Allongée là, je recommençait à me poser des questions. Chose inévitable évidemment étant donné la situation. Je préférais tout à l'heure lorsqu'aucune pensée ne venait perturbé mon pauvre cerveau déjà bien maltraité depuis quelques temps avec toutes ses histoires. Seulement la réalité avait repris ses droit sur ce moment hors du temps que nous avions vécu il y a peu tous les deux. Et dans cette réalité ce genre d'action avait été tabou jusque à, d'où le fait que je me pose des questions. Même si j'avais admis avoir toujours eu cette attirance et que sa empirait avec le temps, je ne savais plus comment concilié ça avec notre vie quotidienne. Car oui, je me connais et ce genre de chose risque de se reproduire si il recommence à jouer de façon trop provocante avec moi, mon corps ne répondais plus à mon esprit j'ai l'impression, et ça devenait légèrement embêtant. De son côté, il prit les choses avec légèrement et dérisions. Il n'avait pas tout à fait tord dans un sens, mieux valait prendre les choses comme ça, puis ce qui est fait est fait et lui comme moi en avions vraiment envie vu l'intensité de l'acte qui avait fait vibrer les mur de cette maison. "C'est vrai que ça peut être sympas comme compensation." Je souris légèrement. On allait se marier et je pense que ce genre de chose allait se reproduire souvent, on ne v pas se reprocher de coucher ensemble alors qu'on est unis aux yeux de tous non? Seulement notre réel relation était un frein à tout ça. J'aurais préférée que les choses soient moins compliqués. Il vint se coller à moi, et je ne le repoussa pas du tôt, éprouvant une certaine plénitude lorsque c'était le cas. Je me sentais bien tout simplement à ses côté. Calant ma tête contre la sienne je fermais doucement les yeux. "Je sais que j'suis très confortable. Profites en, tu as la chance de pouvoir profitez de sa autant que tu veux, c'est cool d'être fiancé avec moi pas vrai?" Finalement c'est dans l'humour que tout c'était clôturé. N'empêche que je me demandais si il ne valait mieux pas que je retourne dans mon lit par rapport aux domestiques qui arriveraient tout à l'heure de bonne heure. Pour l'instant je profitais moi aussi un peu de lui, caressant son bras, petit moment de douceur qui n'était pas donné tous les jours. Puis finalement après de très longues minutes je finis par ouvrir les yeux et dire: "Bon, je crois que je vais retourner dans mon lit douillet. J'imagine pas la tête des domestiques si ils nous voient là comme ça. Je veux pas les traumatiser."

Les réjouissances terminés, c'est un petit moment calme qui nous unissait, blottit l'un contre l'autre. C'est à contre coeur que je brisait ce moment en lui annonçant que j'allais montée à l'étage rejoindre mon lit. Pas que j'en avais franchement envie, mais mon excuses comme quoi il ne fallait pas choqué les domestiques était pas mal trouvé et surtout très crédible. Celà ne représentais enfaite qu'une partie de la vérité. L'autre étant que j'avais peur de se rapprochement qui s'effectuait entre nous. Plus je passais de temps proche avec lui, plus je sentais mon coeur s'habituer à cette situation et j'avais peur que les choses dérapes. Etre fiancé à quelqu'un était une chose, être amoureuse de cette même personne en était une autre. Engagé sa vie avec quelqu'un était plus facile que d'engager son coeur. Et avec Yong Dae j'avoue avoir de grosses craintes. Il était tellement volage et nos caractère se ressemblaient autant qu'ils étaient différents, autrement dit engagé son coeur dans cette histoire consistait à miser sur quitte ou double ça passe ou ça casse, et je ne suis pas sur à être prête d'envisager le côté où ça pourrait casser. Du coup, pour moi la plus sage des décision à prendre dans l'immédiat était de le quitter, de rependre une distance même si ce n'était que physique dans un premier temps.

Une fois qu'il eu poussé son corps du miens je récupérais ce qui me servait de pyjama c'est à dire ma nuisette etc pour enfin engouffrer dans la cage d’escalier et disparaitre à l'étage. C'est avec une certaine joie que je retrouvais mon lit. Il fallait dire qu'il était particulièrement confortable, plus que ne l'était le canapé, même si ce dernier avec quelque chose que mon lit n'avait malheureusement pas, mon très charmant fiancé. Je me secouais la tête quelques secondes histoire de faire disparaître ces pensées de ma tête avant de m'emmitoufler sous la couette et de fermer les yeux.

Les minutes qui suivirent durent particulièrement longues. Impossible de trouver le sommeil, trop de choses me passaient dans la tête sans possibilité à mon pauvre cerveau d'avoir un peu de répits pour s'endormir. Je ne pouvais pas m'enlever Yong Dae de la tête. En même temps je pouvais presque encore sentir l'empreinte de son corps sur moi, mon corps marqué de nos ébats qui datent de seulement peu de temps. Après un énième soupire je tentais une nouvelle fois de trouver le sommeil, me tournant sur le côté les yeux toujours clos. Soudain, je sentis quelqu'un se faufiler dans mon lit et mettre sa main sur mon ventre. Prise de panique je ne laissais pas le temps à l'individue de parler que je l'assénais déjà de coup d'oreiller... Bon ça vaut pas la poêle à Raiponce mais on se défend avec ce qu'on peut! Je le repoussais en même temps, ce qui eu pour résultat de faire tomber l'homme au sol. J'en profitais pour me lever, gardant mon oreiller dans la main en position de combat. "J'vous préviens j'suis armé!". Malheureusement pour ce petit Yong Dae, le noir profond de la chambre et le fait qu'il soit entré trop discrètement m'avais empêcher de le reconnaître.

J'avais eu peur et j'avais donc réagis au quart de tour. Qui pouvais m'assurer que c'était bien Yong Dae d'abord? C'était juste trop irréaliste pour être vrai donc j'agissais en concéquence, c'est à dire que je ne me laissais pas faire et que je me battait avec mes armes. C'est à dire un oreiller, pas génial mais au moins j'avais réussis à le mettre par terre ce qui en soi était déjà une victoire. Je mis ensuite en position de combat, gardant l'oreiller au cas où on sait jamais. Une voix bizarre se dégagea du silence ambiant, cependant elle ne m'étais pas si étrangère que ça. Il avait une arme?... Ca sonnait très bizarre ça moi j'vous l'dis. FInalement il m'attrapa par les pieds et ça je 'avais pas du tout vu venir. Je me retrouvais à terre avec cette étranger sur moi prêt à me faire je ne sais quelles choses ignoble. Je sentais son souffle chaud dans mon cou et là j'eu comme un doute... Mais lorsque j'entendis de nouveau sa voix il ,'y avait plus aucun doute à avoir. c'était bel et bien Yong Dae qui se trouvait là. J'avais envie de hurler et de le frapper pour m'avoir fait peur comme ça. Cependant, comme toujours j'étais trop attiré par l'attrait du jeu et de la provocation qui une fois de plus s'offrait à moi. J'étais décidément trop facile à amadouer.

Ne pouvant donc pas me servir de mes mains qui étaient prisent en otages par l'homme mystérieux qui ne l'étais plus du tout enfaite, je passais simplement mes jambes autour de sa taille serrant fort pour amener son bassin à se coller totalement au mien. " Mais ce n'est pas juste car toi tu as vu mon arme, mais moi je n'ai pas encore vu la tienne, je ne sais pas ce que je dois affronté..." que je fais bien la fille innocente, non franchement je mériterais un Oscar.

Comme d'habitude on en finissait par un jeu de provocation. Je crois qu'entre nous c'était le béaba maintenant, mais si on essayerait de changer qu'on n'y arriverait pas j'suis sur. En tout cas j'avais envie de jouer, mais j'avais pas envie de lui résisté plus que ça bizarrement. Je crois que ce qui c'était passé entre nous tout à l'heure m'avais fait comprendre certaines choses. Et je pense aussi que j'étais capable de sentir ce que nous voulions vraiment tous les deux dans ce genre de situation compliqué. De son côté, il osa me faire une remarque sur la façon dont je jouais l'innocente histoire que ça continue un moment, voir jusqu'à demain pour qu'il n'y ai aucun problème suite à toute cette histoire qu'il y aurait eu entre nous ce soir. Je préférais donc le rassuré. "Ne t’inquiète pas, je serait innocente au moins jusqu'à demain soir, voir pendant deux jours pourquoi pas.". C'est con surement mais j'aimais ça. J'aimais qu'il soit près de moi, j'aimais sentir son corps chaud contre le mien. Et oh oui j'aimais ses baisés par dessus tout. C'est donc avec un grand plaisir que je prolongeais celui qu'il venait de m'imposer par surprise. Je ne sais pas ce qu'il m'avais fait, mais je ne pouvais nié l'évidence qu'il se passait un truc fort et que je ne pouvais rien y faire même si nous faisions les autruches. Et alors que sa main libre parcourais mon corps je ne pus empêcher des frissons de le traverser violemment. Mais lorsque sa main arriva au niveau de mon entre jambe je dû me mordre la lèvre pour ne pas laissé échappé un gémissement. Il voulait que je résiste apparemment, mais je n'étais pas sur que ce soit réellement ce qu'il veulent. Alors, juste pour faire style, je remuais un peu le corps faisant mine de vouloir me libérer. "Voilà j'ai résisté. Mais je ne peux rien contre toi, tu es bien trop fort..." Dis-je avant de capturer ses lèvres à mon tour.