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 Park Kwang Ho - à la lumière du passé, le présent s'éclaire

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Watashi wa
Park Kwang Ho desu

Park Kwang Ho


Date d'inscription : 19/08/2013
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MessageSujet: Park Kwang Ho - à la lumière du passé, le présent s'éclaire   Park Kwang Ho  - à la lumière du passé, le présent s'éclaire EmptyDim 8 Sep - 20:18

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Park Kwang Ho


Hello ! What's your name ?

Je me présente je m'appelle Park Kwang Ho mais il arrive qu'on m'appelle comme ça ...ose me nommer par un autre nom que le mien et j'te bouffes !. D'après ce qu'on m'a dit, je suis Coréen. Je suis né le 22 Mars 1993 à Busan et oui, j'ai 20 ans. Je suis actuellement accros aux plans cul d'un soir. Je viens de Warui Gakuen, ce que je pense de la fusion entre les deux écoles ? et bien, J'en ai rien à foutre tant qu'on me laisse sécher les cours et frapper les gangs ennemis au mien. Actuellement, je suis en Terminale A, je suis un garçon. Si on devait me décrire en quelques mots, on dirait de moi que je suis Insolent, dominant, désagréable, fier, sensible (mais le refoule), manipulateur et petit bonus perso, je manque de confiance en moi Et je sais pas si vous l'avez remarqué, mais vous trouvez pas que j'ai un air de ressemblance avec Choi Seung Hyeon, la classe hein ?

Once upon a time...

Le nom qui m’a été offert signifie : lumière céleste. Assez ironique lorsque l’ont y pense l’espace de quelques instants.

Le jour de la rentrée, un jour que je haie le plus au monde, mais qui n’a pas la moindre importance pour moi. Redoublement, deuxième terminale. Tch. Connerie qu’est l’école, j’ai même pas pris la peine de me présenter au bac. Prétendant avoir autre chose à faire de plus important (comme baiser avec la première venue par exemple), c’est en réalité par peur de l’échec que j’ai jeté l’éponge avant même de me présenter aux divers épreuves.

Chevilles croisées, posées sur le bureau, je passe mes mains derrière ma tête, arquant un sourcil lorsque la porte de l’entrée s’ouvre sur une belle jeune femme d’environ trente ans.
-Bonjour tout le monde !, s’exclama-t-elle gaiment
Tous se lèvent, excepté ma personne et mes potes de gangs. Pourquoi se lever pour une femme pensant posséder la science infuse ? Non merci, cela sera sans ma moi.
-Je vous en pris, asseyez-vous, ajouta-t-elle avant de poursuivre lorsque ces couillons se rassois, je serais votre nouveau professeur de littérature, Kanta-san ayant pris sa retraite, c’est à moi à reprendre votre classe et vous emmenez jusqu’à l’examen.

Baratin, baratin, baratin, son sourire sonne faux. Bon dieu, quelle se taise ! Et après des multiples prières silencieuses, elle finit enfin par mettre fin à ses jacassements incessants et exécuta l’appel. Une fois ceci fait, la jeune prof présenta son parcours, parlant pendant des minutes qui me semblèrent interminables jusqu’au moment ou elle nous proposa quelques chose pour le moins, inattendu…
-J’aimerais que vous passiez chacun votre tour devant le tableau et que vous parliez un peu de vous, de ce que vous aimez, ce que vous penser de la fusion des deux lycées. Je voudrais en savoir un peu plus sur vous, vous êtes d’accord ?
Peu rassurés, certains élèves l’étaient. Pour ma part, je m’en contre fichais, parler en public n’avais jamais été un problème. Un mélange de confusion, de peur ou encore de stupidité défilé devant mes yeux, bien que j’en appris pas mal sur les étudiants, certains d’entre-deux étaient aussi intéressent qu’une langouste paumé. Lorsque ce fus mon tour, j’entendis mes potes s’exclamer des « vas-y boss, met les points sur les I » ou encore « crèves-les du regard ». Déliant mes chevilles, c’est avec un sourire narquois que je vins me placer devant le tableau et lance un regard circulaire à l’ensemble de la pièce. Je présente ma main, dont les deux derniers doigts sont repliés « Règles numéro 1 : Je n’ai jamais tord. Règle numéro 2 : c’est moi qui fais la loi. Règle numéro 3 : Ne jamais oser me défier. » Marquant une pause, j’observe les élèves apeurés, curieux. Certaines têtes me sont familières tandis que d’autres, inconnues de ma mémoire, devrons être mis en garde. Je sors une clope de ma poche et l’allume sans aucun respect pour le règlement intérieur. Je tire une latte et continue. « Trois règles. Seulement trois petites et simples règles et je vous ferez grâce de mes poings. Ces fameuses règles s’appliquent pour tous, autant pour les élèves que pour les profs. » Je tire encore une latte, laissant la fumer s'échapper tout en observant intensément la jeune prof me regardant comme si j’allais lui ôter la vie.  «  Aucune pitié, aucune seconde chance pour les personnes ayant commis une infraction à mon règlement. Et je tiens à vous prévenir que je suis bel et bien, Park Kwang Ho, leader d’un des gangs les plus importants de Tokyo. » Un rire froid s’échappe de ma gorge. «  Et au vue de vos regard apeuré, vous avez certainement entendu parler de moi au-delà des murs de cette puta…excusez mon langage. Je voulais dire, Warui Gakuen. » Je fis une légère révérence et poursuivis en me redressant lentement « Je me présente, je suis Park Kwang Ho. J’aime l’alcool, la clope, la drogue et par-dessus tout, le sexe. Gonzesses, mecs, peu m’importe, tant qu’il y a un trou à combler et un beau corps à caresser, je suis preneur ».
Suite à ce monologue, je retourne à ma place, ravie de mon petit effet, qui je le sais, restera gravé dans les mémoires.

Je vois votre regard, il semble dire « mais quelle enflure ». Haha…oh oui, je ne pourrais prétendre l’inverse mais sachez une chose à l’importance capitale : je n’ai pas toujours été ainsi. Choqué ? Chose pourtant vraie et mon histoire prouve que derrière cette coquille de marbre, ce cache un cœur brisé, déçu et terriblement seul. Toujours choqué ? Alors, entrez dans mon passé.

Laissez-moi commencer par le commencement. Ça n’aura peut-être pas plus de sens, mais tout de même, on comprendra un peu mieux le tableau.

Mon existence débuta au cœur de Busan, en Corée. Ma mère eu des difficultés à nous mettre au monde, mon frère jumeau et moi, mais par un saint miracle, nous sommes parvenues à croiser les yeux de notre génitrice en une froide nuit de Février, le 27 plus précisément. Nous étions de beaux bébés, de très beaux bébés en bonne santé. Sages, nous ne pleurions que par faim ou par la faute d’une odeur nauséabonde venant de nos couches.

Enfant, j’inspirais bien des sentiments, autant variés les uns que les autres. Joueur, toujours en quête d’une nouvelle connerie à faire, mon cul a été maintes fois rougi par les fessées de mon père, bien qu’elles ne soient jamais très fortes, je versais des larmes, horriblement vexé par ce geste et n’aimant pas avoir mal à mon royal fessier. Sacré comédien, je pleurais sur commande et savais rajouter du dramatisme à ma situation –sans trop pour rester crédible mais bien assez pour être pris au sérieux – pour obtenir le pardon des victimes de mes bêtises. C’est ainsi que le vase en porcelaine chinoise de ma mère brisé, le tapis provenant du Maroc taché, le corps du chien de la voisine tondu par endroit ou encore, le vélo caché du voisin que je n’aimais pas, ne m’attirèrent en fin de compte que peu d’ennuis.

J’étais fragile et craintif. Toujours proche de mon jeune frère, refusant de le quitter, prétextant vouloir le protéger, en tant qu’aîné, c’était mon devoir le plus précieux. Et bien que personne ne fasse de commentaires sur ma soi-disante bravoure, tous savait la vérité : j’étais tétanisé rien qu’à l’idée d’être séparé de mon jumeau une seule seconde. Une petite anecdote servira à prouver mes dires, notre année de CP par exemple. Facile, ma lecture était fluide en l’espace d’à peine trois mois, tandis que mon petit frère rencontrait encore des difficultés en fin d’année. Je m’en souviens comme si c’était hier…je me souviens avoir pleuré à chaudes larmes dans les bras de ma mère pour redoubler aussi et rester auprès de ma « moitié ».

Alors comment cet enfant que j’étais a pus se transformer en un être opposé à ce que je fus, jadis ? Un manque cruel d’amour sans doute. Ou peut-être un évènement dramatique, traumatisant. Oui, plus précisément, la perte de mes parents dans un accident de voiture lors de l’année de nos douze ans.
Je n’ai jamais oublié, ça me hante.
Cruel destinée que de vivre avec ce poids.

Assis sur la banquette arrière, mes parents à l’avant, j’avais fait un caprice pour qu’ils m’offrent un nouveau jouet. Tout ce passa très vite. Un feu rouge grillé. Un piéton téméraire. Un motard peu réactif. Le pire c’était produit. Trois morts, un coma, une fuite et moi, seul rescapé d’entre les blessés, même si, grièvement abîmé.

Quand mon frère pleura contre moi lorsqu’il vint me voir à l’hôpital, je restais là, le regard vide, sans réagir, choqué par l’accident. Les semaines défilèrent et je pus rentrer chez moi après de nombreuses visites en rééducation et entretiens avec un pédopsychiatre. A l’époque, je ne comprenais pas la raison de tous ces rendez-vous chez ce psy, les trouvant inutiles et barbants jusqu’à ce que mon esprit réagisse et accepta d’encaisser la mort de papa et maman. Cette prise de conscience agissa tel un poison sur ma personne encore fragile par les récents évènements et changea du tout au tout ma personnalité. Du gosse craintif et câlin, je devins un jeune adolescent  désagréable, insolent et agressif. Je pris le goût du combat et gagna rapidement la confiance d’un leader de gang, devenant son bras droit. Voles, combats de rues, trafic de drogue et j’en passe, mon rang ne me suffisais plus. Je désirais obtenir plus, bien plus. Je fis, alors, ce que tout autre homme aurait fait à ma place, je trahis notre chef en lui faisant une proposition : un combat. Carte blanche, tous les coups bas autorisés et celui qui ressortirait victorieux de cette affrontement, utiliserait le perdant comme pute personnel. Une proposition bien dangereuse compte tenus de sa force au combat et du fait qu’il ferait tout pour détenir la victoire, sachant qu’il avait des vues sur moi –et ne manquais jamais une occasion pour me le faire savoir- depuis le premier jour de notre rencontre.

Il ne déclina pas mon offre, comme je l’avais prévu, et porta le premier cou, confiant, et c’est confiance débordante en lui-même qui le fit perdre. Avec peine, sortant de cette affrontement blessé, mais ayant atteint le plus haut sommet de la hiérarchie du gang, que dis-je, de MON gang à présent, je le fis s’agenouiller à mes pieds et lui ordonna de dégager de ma vue, lui offrant tout de même la possibilité d’échapper à son nouveau rôle. Offre qu’il ne m’aurait jamais faite mais je ne suis pas aussi pourri jusqu’à la moelle que lui et ne le serais, au fond, jamais.

Entre temps, mon frère qui ne me reconnaissait plus, partie étudier en France, pays qui le fasciné depuis toujours, me laissant seul avec ma tristesse que je tentais désespérément de refouler un peu plus chaque jour. Je me retrouvais seul avec notre tant et notre oncle, s’occupant de notre éducation depuis l’incident qui a fait de nous, des orphelins. Ai-je précisé qu’ils vivaient au Japon ? Pas encore au vu de votre regard interloqué. Oui, en plus du choc de l’accident, de l’enterrement, nous avions déménagé dans les jours qui suivirent, pour atteindre, Tokyo. La vie ici n’est pas trop chiante, excepté mes fréquents accrochages avec mon oncle, me reprochant ma mauvaise conduite, me comparant sans cesse à mon jumeau qui réussissait ses études en France. Pas ma faute s’il était plus brillant que moi, mais à cela venait s’ajouter bien d’autres détails. Les cours : je m’en contre foutais. Mon avenir : leader de gang. Mon frère : il m’avait abandonné. Mon frère, parlons-en, tiens ! J’éprouve à son égard un mélange de haine et d’amour, je l’aime et le déteste à la fois. Ce type, cet homme qui porte mon visage, ma moitié, ce qui me manque pour exister entièrement, pleinement, est parti  loin de moi et je sais que j’aurais pu l’en empêcher. Il m’avait posé une simple question et je devais y répondre sincèrement, cette question « pleureras-tu si je pars ? Seras-tu capable de mettre ta fierté de côté et me prendre dans tes bras pour murmurer un simple, je t’aime, comme autrefois ? ». Je répondis un simple et froid « Vas te faire foutre. », et sortie de cette maison étouffante en claquant la porte. Néanmoins, je pouvais sentir le regard de mon frère, déçus, se poser sur mon dos et cette nuit-là, je pleurais comme jamais je n’avais pleuré auparavant. Je pleurais mon avenir incertain. Je pleurais la mort de mes parents car s’ils avaient connu la mort, c’était bel et bien ma faute. Je pleurais pour mes actes passés. Je pleurais pour avoir déçus les gens que j’aimais le plus au monde. Je pleurais le départ de mon frère.

En cette nuit de pleine lune, du haut de mes dix-sept ans, je ne pus retenir mes sanglots au fond de ma gorge et mes larmes derrière la barrière de mes yeux.

La majorité arriva bien vite, tout comme l’année du bac, année pendant laquelle, je n’offris presque jamais le plaisir aux profs de me présenter à leurs cours, préférant de loin me balader dans les couloirs, sauter le mur de l’école ou encore, rattraper des heures de sommeil dans mon lit et parfois même en cours.

Le bac échoué, pour dire vrai, je n’avais pas pris la peine de me présenter aux épreuves –pourquoi tenter quand vous êtes sur d’échouer ? C’est idiot-, redoublement de la terminale et fusion de notre école avec celle de filles. Tch. Navré mais le rose, très peu pour moi, idem pour le respect du règlement. Je crois très sincèrement que certains n’on pas encore comprit qui était Park Kwang Ho, mais ils l’apprendront bien vite.


Who are you ? Have we ever met before?

En réalité, je suis MadHatter je suis une personne très vieille j'ai 450 ans Smile. J'ai trouvé le forum de cette manière on m'a attiré avec des bombons *0*. Je le trouve parfais huhuh et j'espère rester le plus longtemps possible. Justement, j'ai une fréquence de connexion pour mes rp qui avoisine plus 4-5/7 jours. J'ai pas utilisé de scénario héhé. Je veux juste rajouter que Je vous baise tendrement mes crevettes ;p.
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Watashi wa
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MessageSujet: Re: Park Kwang Ho - à la lumière du passé, le présent s'éclaire   Park Kwang Ho  - à la lumière du passé, le présent s'éclaire EmptyLun 6 Jan - 21:15

J'ai envie d'être gentil, comme personne (normal en même temps) t'avais souhaité la bienvenue je le fais.

WELCOME!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! XD *se sent puissant*
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Watashi wa
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Park Kwang Ho


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MessageSujet: Re: Park Kwang Ho - à la lumière du passé, le présent s'éclaire   Park Kwang Ho  - à la lumière du passé, le présent s'éclaire EmptyLun 6 Jan - 21:18

Ohwwwwwwwwwwwwwwwwwww *O*Ouai pfff snoufff les admins ont jamais des bienvenus T.T C'pas juste *pleure* mais owhhhhhhh <3
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Watashi wa
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MessageSujet: Re: Park Kwang Ho - à la lumière du passé, le présent s'éclaire   Park Kwang Ho  - à la lumière du passé, le présent s'éclaire EmptyLun 6 Jan - 21:26

Fais moi un bisou maintenant de remerciement !
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Watashi wa
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MessageSujet: Re: Park Kwang Ho - à la lumière du passé, le présent s'éclaire   Park Kwang Ho  - à la lumière du passé, le présent s'éclaire EmptyLun 6 Jan - 21:44

T'as été sage ? /PAN/ bisouuuuuuuuuuuuuuuuuu *lui donne un coup de langue sur la joue* huhuh
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Watashi wa
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MessageSujet: Re: Park Kwang Ho - à la lumière du passé, le présent s'éclaire   Park Kwang Ho  - à la lumière du passé, le présent s'éclaire EmptyLun 6 Jan - 21:53

*se dit qu'il n'est pas une glace*
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Watashi wa
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