Dans ce lycée je me sens seul...beaucoup trop seul bien que j'ai le club de natation et quelques amis la solitude arrive quand même a me gagner, une solitude bien sur moins grande que celle qui me gagne quand je suis chez moi mais quand bien même je détèste cela et mes deux grands pères me diront que je n'ai pas besoin d'amis que dans le milieu dans lequel ont vit tout amis peut être un futur enemie...Un soupir las s'échappe de mes lèvres, mon frère Ryu me manque...bien qu'il ne soit que mon frère adoptif notre lien est plus fort que ceux des frères de sang. Je m'en veux tellement d'être partit sans avoir pu lui dire ou j'était...et j'espère pouvoir le revoir un jour. Mais il y avait aussi Haru...ma petite Haru...un petit sourire naquis sur mes lèvres en pensant a elle, elle me manque beaucoup elle aussi elle est comme une soeur pour moi et nous avons grandis ensemble en quelque sorte et avec Ryu ils sont mes seuls réel amis dans ce bas monde avec eux je peux être moi et sans eux...je suis comme perdu je ne suis qu'un type arrogant fêtar salaud ect... Oui qui aurait pu croire que l'héritié d'un des plus grand clan Yakuza et d'un grand reseau mafieux était aussi...fleur bleu dira-t-on...et pourtant j'ai deja fait et vu les pires horreur...

Je me baladais dans le bahut entourner de quelques "amis" ou plutot de camarades de classe discutant de tout et de rien, quand je cru avoir une halluination a peu trop réel a mon gout, Haruka enfin une fille qui lui ressemblais un peu trop, je m'approcha un peu plus d'elle et quel ne fus pas ma surprise quand je compris que non ce n'était pas une hallutination mais bien elle. Je m'excusa aupres de ceux qui m'accompagnais et me diriga sans plus attendre vers celle qui était comme une soeur a mes yeux et que j'avais cru ne plus jamais revoir...J'attrapa sa main et l'emmena vers les escalier de sécour tellement rapidement qu'elle e du pas voir mon visage. Je bousculais les autres sans m'excuser entendant Haruka raler et ce débattre et maugré contre ma personne sans savoir que c'était moi, arriver a destination je lachais son poignet que j'avais surement serrer trop fort. Toujours dos a elle je l'entendais encore pester contre moi ce qui je dois dire me fait doucement rire...

"Quand t'aura fini de raler contre moi tu pourra peut etre m'expliquer ce que tu fais ici Haru"

Je me retourne enfin vers elle un grand sourire au levres ne cachant pas que je suis heureux de la revoir...

Cela faisait déjà un petit bout de temps que j'étais arrivée et je commençais à prendre mes marques et à m'habituer à ma nouvelle vie, à l'uniforme, à ces bagarres qui n'en finissent pas. Bien que j'avais  Gô pour me tenir compagnie, je me sentais quand même un peu seule. Je ne sais pas pourquoi mais j'ai du mal à faire des amis ici alors que je n'avais pas ce problème quand j'étais aux Etats-Unis et même en France. En même temps l'environnement était différent, je pouvais jouer un rôle. Ici, j'ai l'impression d'être mise à nu, qu'à n'importe quel moment quelqu'un risque de découvrir mon secret car ici, la mafia est assez présente et je ne sais pas jusqu'à quand je pourrais rester incognito. J'ai envie de me faire des amis, mais je n'ai pas envie de me dévoiler, de devoir parler de moi, de mes problèmes de famille. Enfin, jusque à je ne me débrouille pas trop mal et malgré tout j'ai réussi à me faire quelques amis un peu plus âgés, oubliant presque même pourquoi je suis venu ici. Fin des cours, pause déjeuner, le moment que je préfère le plus. Je quitte alors ma salle, me dirigeant vers la cours, bien décider de manger sous un arbre tranquille, au lieu d'aller sur le toit comme j'ai l'habitude d'y aller. Sauf que mes plans tombent à l'eau quand une personne déboule et me prend par le bras, me tirant je ne sais où. Alors bien sûr je ne me suis pas faite prier pour balancer des insultes, pensant qu'il s'agissait encore de ces trois filles qui avaient décidé d'envoyer un mec réglé mon compte vu que Hiro avait pris ma défense la première fois. Quel ne fut ma surprise en voyant qu'il s'agissait d'une personne avec un visage ô combien familier.

"Quand t'aura fini de raler contre moi tu pourra peut etre m'expliquer ce que tu fais ici Haru"

Je soupire et secoue la tête face à son action mais je suis quand même contente de le voir. Depuis le temps que je suis ici, je n'ai jamais eu l'occasion de le voir, ou disons que mon père m'avait demandé de ne pas le déranger car il avait beaucoup de choses à faire pour le clan, j'avais donc respecter sa demande et avais attendu patiemment le bon moment.

-J'espère que ce n'est pas comme ça que tu accostes les nanas en général, sinon faut revoir ta technique hein. Et pour répondre à ta question, après m'être faite exiler en France, je me suis dit que ce serait bien de venir dans le pays où j'ai vu le jour. Tu sais, la nostalgie des trucs comme ça. Et toi, je suppose que tu te plais bien ici.

J'aurai été un garçon je pense que je m'y serai bien plus, les filles ne sont pas trop farouches en général, il y a de quoi s'amuser. Il suffit de se promener dans les rues les soirs. C'est un peu mon activité préférée ces derniers temps, sortir, regarder un peu les gens vivre, prendre des photos, voir la différence entre leurs comportements le jour et la nuit. Mais qui suis-je pour les juger, je suis pareil au fond.