Tout pour le moment c’était bien passé bien que j’avais eu cette étrange impression que quelque chose allait arriver. Je ne sais vraiment pas pourquoi j’avais cette impression comme c’était une journée comme les autres. Je dois dire que cela m’avais inquiéter un peu quand je me suis réveillé et j’en avais donc parlé à ma fiancée au petit déjeuner. Elle me rassura en me disant que cela ne devait qu’être qu’une simple impression que surement il ne se passerait rien de différent aujourd’hui. Elle avait surement raison que je m’inquiétais simplement pour rien.  J’allais simplement travailler et ce n’est pas comme si j’avais une réunion important avec le personnelle de l’école ou quelque chose comme cela. C’est donc en essayant de me convaincre que je me suis rendu à l’école. Il ne fallait quand même pas que je sois inquiet si un élève venait me voir, cela ne lui permettra pas d’être en confiance à mon niveau. Je savais que la confiance était une bonne chose dans mon métier si je voulais ceux-ci me disent ce qui n’allaient pas.

Au moment que je suis arrivé à mon bureau, il avait déjà une personne qui attendait que j’arrive. Je dois dire que je me sentais un peu mal quand cela arrivait bien que je ne suis pas en retard. Je la salue avant de la faire rentrer dans mon bureau. J’écoute attentivement la raison qui fait qu’elle est venue, mais malheureusement, je ne peux pas faire quand chose. Je lui conseillai de prendre  des médicaments pour soulager la douleur et que si cela n’avait pas changé d’ici deux heures, de revenir me voir. Je lui souris doucement en la regardant partir.

C’est peu de temps après que les cours commencèrent et c’était devenu tout simplement calme. Dans ce genre de moment que je profitais pour me concentrer pour travailler. C’est sûr qu’il avait toujours la possibilité que je sois déranger durant, mais cela faisait partie de mon métier.

Finalement, cette étrange impression que j’avais eu avait eu un sens a partir du moment que quelqu’un cogna à ma porte. J’avais bien sûr simplement pensé que cela serait simplement un élève, mais au moment de relever ma tête, je le vit lui, celui qui avait apprit à accepté mon orientation et je j’avais aimé de tout mon cœur, mais également celui que j’avais blessé. J’avais eu au début l’impression que c’état un rêve ou que c’était juste une personne qui lui ressemblait, mais c’était bien lui. Il était simplement resté figé devant moi et je vis des larmes couler. Je m’en suis voulu intérieurement. J’avais tout fait pour ne pas le voir triste, pour garder un souvenir de lui avec le sourire. Il faut dire que je ne peux pas éviter cela. Le revoir ne me faisait que retourné le couteau dans la plait en me rappelant que j’avais été le pire des petits amis. Dans un certain sens, c’était un moment qui me permettait d’expliqué ce qui s’était passé 2 ans plus tôt. Cela lui permettrait surement de passé par-dessus cela et faire qu’il puisse recommencer à zéro avec une nouvelle personne. Je fus le premier à brisé le silence qui s’était installé.

« Je suis vraiment désolé. J’ai agit comme le pire des idiot et je ne m’hérite même pas que tu me donne ton pardon. »

Ma voix était légèrement tremblante et mon regard était triste bien que sincère. Je ne m’héritais vraiment pas son pardon après ce que je lui avais fait. Il avait du souffrir énormément vu que j’avais rien laissé après mon départ. Je repris la parole.

« Tu peux fermer la porte et je vais pouvoir t’expliqué ce qu’il s’est passé. Cela ne changera pas le passé, mais au moins tu pourras comprendre. »

Je me retenais de ne pas pleurer et également à aller le serrer dans mes bras pour le consolé. Par contre, je n’étais pas la personne qui pouvait le consoler comme j’étais la source de sa douleur. Une fois qu’il fermi la porte, je pris une grande inspiration avant de commencer à tout lui expliquer.

« Si tu te souviens bien, je ne t’ai jamais présenté à mes parents. Ce n’était pas parce que j’avais honte, bien au contraire, mais parce que ceux-ci sont homophobes. Je ne voulais pas les décevoir et j’avais donc essayé de leur caché la vérité. Ils ont fini par le savoir. Ils m’en ont parlé deux semaines avant mon départ en me disant qu’ils me donnaient un ultimatum pour te quitter et que si je ne le faisais pas, ils me renieraient.  À la fin de cette ultimatum, je devais aller suivre un stage à Boston comme ils voulaient m’éloigné de toi le plus possible. »

Je baissai le regard et durant tout le temps que j’avais parlé, je ne l’avais jamais regardé dans les yeux comme j’avais honte de moi. Je pris une pause avant de recommencer.

« Je ne voulais pas être renié par mes parents. J’ai voulu ne pas te le dire pour que je puisse te voir heureux et passé des moments avec toi  heureux. La journée de mon départ, je n’ai simplement pas trouvé le courage de tout t’avoué. Tu ne sais pas combien j’aurais voulu répondre à tes messages et à tes appels, mais je savais que te savoir triste, me briserais encore plus le cœur. C’est donc ce qui s’est passé. »