Le réveil viens a peine de se faire entendre que j’entends déjà les cris de mon géniteur oui il n’a plus mérité le nom de père depuis longtemps et surement que je ne l’appellerais plus ainsi. Je me redresse pour voir l’heure je suis déjà en retard, je me prépare et descend j’embrasse ma mère et lui souris, elle est encore une des rare qui y a encore droit. Je prends mon petit déjeuner tranquillement ma mère reste prêt de moi, me regardant comme toujours avec son regard bienveillant remplis de tristesse. J’aimerais tellement la revoir sourire pour de vrai sans ce regard triste, un soupire traverse ma bouche. A mère allait me dire quelque chose mais n’en n’eut point le temps car on pouvait en entends le pas lourd de mon paternel ce qui signifiais que toute discussion serais maintenant impossible. Ma mère efface son sourire et baisse la tête, je n’en peux plus…L’atmosphère est devenu lourde dans la pièce. Je me lève pour partir de cette maison embrassant de nouveau ma mère au passage ignorant mon père celui-ci lance une de ses bouteille vide qui s’écrase contre le mur manquant de justesse de me toucher seul un petit bout de verre réussi à m’entailler légèrement la joue, le regard de ma mère m’empêchent de répliquer je pris mon sac et parti pour le lycée sans me retourné sous les cris de mon père énerver de mon ignorance à son égard.

Une fois au lycée je rejoignis ma salle de classe, je n’écoutais pas plus que ça mon professeur  comme d’habitude à vrai dire. La fin du cours avait enfin sonné me libérant de l’enfer qu’était ce cours de mathématiques, une douleur se fit sentir au niveau de mon épaule, elle était surement du au cadeau que mon père m’avait fait la veille au  soir, et dans la précipitation je n’avais pas pris mes antidouleur ce matin. « Merde » vu le seul mot qui sorti de mes lèvres. Un soupire franchit la barrière de mes lèvres et au lieu de prendre la direction de la salle pour le cours suivant je pris la direction de l’infirmerie. Il fallait que je trouve une nouvelle excuse cette fois car avec me visite assez récurrente l’infirmier va un jour convoquer mes parents ce qui ne sera pas forcement bon pour moi…mais vraiment pas bon du tout…

J’étais  tellement perdu dans mes pensées que je n’avais même pas remarquer que j’étais devant l’infirmerie, j’avoue avoir hésité et repartir dans l’autre direction mais j’avais vraiment trop mal pour cela. Je frappai a la porte  sans y avoir été invité, les bonnes manières n’était pas des masse mon fort il faut dire. Je retins un petit rire en voyant la tête de l’infirmier d’être rentré sans qu’on mette invité…

« Je voudrais un pansement…je lui montrai ma joue égratigné. Et si vous avez des calmement aussi je ne dis pas nan je me suis blessé à l’épaule et ça me fait très mal... »

Je m’étais installé a on bureau tout en parlant et jeta un petit coup d’œil au lit prévu pour les élèves en cas que ceux-ci ne se sente pas bien…

« Ah et je sens que les calmement vont me mettre K.O donc je squatterais un des lit »

Oui ce n’était pas une question, je le regardais attendant qu’il daigne ouvrir la bouche

Depuis la dernière fois ou je suis venu et qu'il avait convoquer mes parents j'avais un mauvais pressentiment sur cet infirmier. Mon père, la ferme prise qu'il exerçait sur mes épaules ce jour la son regard dur sur ma personne, ma mère qui ne pipais mot et s’écrasait face a mon père et ne la laissais pas parler quand les questions étaient poser,cela n'aurais échapper a personne et a ce que je vois cela n'a pas échapper a ce très cher monsieur Kamei notre gentil infirmier.

« Pour le pansement, il n’y a pas de problème. Il faudra juste désinfecter avant. Pour ce qui es des calmants, j’aimerais pouvoir examiner ton épaules avant de t’en donner pour voir la gravité de ta blessure et cela sera plus facile de savoir si tu peux me dire c’est ou exactement que tu as mal. »

Un soupire s'échappa de mes lèvres, il ne pouvait pas simplement me  foutre simplement un pansement et me passé simplement ce foutu calment ? Je le vis ce retourner pour prendre de quoi me soigné « Il a des chances que cela brûle un peu. » je grimaça un peu car en effet ça brûle et puis vu que je n'ai pas désinfecter de suite c'est normal  une fois fait il me mis le pansement et je pensais que ça s’arrêterait la mais non il fallait qu'il me demande comment je mettais  fais cela, un sourire arrogant naquit sur mes lèvres et le regarda de la même façon...

« Je suis tomber dans mes escalier j'ai fait un gros rouler bouler et voilà content ? Je peux avoir mon cachet ? A moins que vous ne vouliez aussi que je vous montre l'étendu des dégâts ? »

Je ne savais pas si m'a réponse lui suffirais quoi qu'avec mon air hautain je doutais qu'il gobe une connerie pareille, las et ne voulant plus l'écouter je pris l'initiative d'aller de moi même m'allonger sur un des lit même si je savais pertinemment  que le gentil monsieur Kamei viendrais continuer son petit  interrogatoire...3,2,1 qu'est ce que je disais le voilà planté comme un piquet a coté de moi...

« Ma réponse ne vous satisfais pas monsieur ? Ou peut être essayez-vous de me faire dire quelque chose ? »

Je le regardais droit dans les yeux mon regard et mon ton arrogant et hautain disparu pour ne laisser qu'un visage fermer et un ton froid, si il y a bien quelque chose que je ne supporte pas c'est qu'on me force a dire ou faire quelque chose que je ne supporte pas.