tenue + « Baby Amy ramène ton cul chez moi, ce soir soirée entre deux débiles ok ! Ramène de la bouffe et du maquillage, on va roxer ma poule ! » Ce soir Party Haaaaaaaaaard ! Toutes à poils, se déhanchant sur la danse du Skieur, Karen n’avait pas bu ! Elle était juste de bonne humeur, et quand elle est de bonne humeur, elle pète un câble et saute partout. Rares sont les personnes qui peuvent la supporter. Amy était bien une des seules à la voir dans tous ses états, surtout de folies ! En attendant, Karen installa tout pour que cette petite soirée soit parfaite, elle avait fait le stock de nourriture, de conneries à faire et de maquillage pour faire les folles. Karen s’installa sur le canapé et prit la télécommande, mettant de la musique. Au fur et à mesure que la musique se lançait, elle tapait sa jambe tout en chantonnant les paroles. Wah, elle se mettait le feu toute seule. Karen attrapa un paquet de chips et le vida à moitié dans sa bouche en riant comme une teubé de première. Karen se leva et monta sur la table basse, prenant la télécommande comme micro en chantant « Hakuna Matata » puis lorsque la sonnerie retentit, Karen arrêta la musique et se jeta hors du canapé, ouvrant la porte. « Wesh Amy, bien ou bien ? Aller rentre ou j’te mange ! » Karen prit le bras d’Amy et la fit rentrer, refermant derrière elle. Elle débarrassa Amy de ses affaires et sautilla partout. « Aller déshabille-toi, met toi à poil, on va appeler des strips-teaseurs, on va finir par partouzer et OH LA LA, t’es trop sexy, viens on devient lesbiennes et on fera les montagnes russes sous la couette ! » Dit-elle en riant comme un phoque et en sautillant.

J'étais étendue sur mon canapé, les pieds en l'air en regardant une émission débile avec des idols à la télévision et c'était comme ça que je voyais ma soirée. Ouais, je sais, c'est trop triste. Mais j'y pouvais rien, ils étaient plutôt aguichant ces idoles. Ils faisaient des blagues, trémoussaient leur derrière. Non, j'aimais bien. Enfin, c'était un secret que personne ne devait savoir. Jamais. D'ailleurs quand mon téléphone sonna, je l'attrapai à la hâte et éteignis le son pour ne pas me faire capter et décrochai avec le sourire en voyant qu'il s'agissait de Karen. Elle ne me laissait même pas l'occasion de dire le moindre moins, mais le plan était fort intéressant. Bye bye les idoles ! Je fonçais dans la cuisine pour attraper toutes les cochonneries que je trouvais, puis dans la salle de bain emmenant mon maquillage et mes vernis avant de courire jusque chez elle, prenant à peine le temps de dire à mon père où j'allais. De toute façon, il devait s'en douter, le pauvre. Je toquais comme une malade mentale à sa porte, sûrement que tout ses voisins devaient être alerté de ma venue, mais tant pis. Je ris comme une idiote à sa salutation avant d'hésiter.

-Me manger ? J'attends que ça, Sexy.

Mais je rentrais quand même. C'était plus prudent que de rester devant la porte et de donner un spectacle terriblement excitant aux autres habitants. Ce que j'aimais par dessus tout avec elle, c'est qu'on passait notre temps à pleurer de rire comme des idiotes, et ça ne manquait pas. J'enlevais mon manteau avant de le jeter comme une gogo-danseuse quand elle me demanda de le faire. Bon, je gardais mon débardeur et mon mini-short en jeans que j'avais mis à la base pour traîner devant la télé. Riant à gorge déployé quand elle proposa de devenir lesbienne, je pris un élan avant de venir lui sauter dessus, enroulant mes jambes autour d'elle comme un koala.

-HAN ! Si tu SAVAIS depuis combien de temps j'attends ça mon amouuuur ! Prends-moi comme une chienne ! Et après, on appelle les strip-teaser.

Je lui fis un clin d'oeil sans la lâcher, la poussant un peu pour se rapprocher du canapé. J'avais repéré qu'il y avait du chocolat par là-bas. Et j'avais vraiment envie de m'empiffrer bien comme il faut. « Plus vite, plus vite ! » répétais-je en lui donnant une petite tape sur les fesses. Elle ne voyait pas que la morfale que j'étais avait faim ou quoi ?

Karen était tout à fait normale, vraiment. Elle était comme tous les humains : elle avait des moments de folies et elle l’avouait : Karen est un folle, beaucoup trop. Elle se demandait comment les gens ne la fuyaient pas. Par moment, elle se faisait elle-même peur. Tout à fait normal. Lorsqu’Amy arriva, dans la tête de Karen c’était la fête. « Me manger ? J'attends que ça, Sexy. » Karen lui sourit et dit faussement énerver : « Ne me chauffe pas ! » Amy rentra puis elle retira son manteau telle une gogo-danseuse, Karen le rattrapa et le posa sur le meuble de l’entrée tout en refermant la porte. Ensuite Amy sauta sur Karen entourant ses jambes autour de la jardinière qui manqua de se casser la figure. « -HAN ! Si tu SAVAIS depuis combien de temps j'attends ça mon amouuuur ! Prends-moi comme une chienne ! Et après, on appelle les strip-teaseurs. » Karen lui sourit, elle allait vraiment les appeler, elle était vraiment capable de le faire ! « Je vais vraiment les appeler ! On va finir en mode partouze tu verras bébé ! » Karen les appellerait donc plus tard, là elle voulait profiter de sa soirée avec Amy. « Plus vite, plus vite ! » dit-elle en donnant une tape sur les fesses de Karen. La jardinière la laissa tomber sur le canapé, Karen alla chercher la nourriture et la posa sur la table devant la télé. Tout cet effort l’avait tué, Karen s’affala dans le canapé et le sourire aux lèvres, Karen allongea Amy et la jardinière se positionna au-dessus d’elle, en riant. « Tu veux pas retirer ton t-shirt ? T’auras moins chaud je te le promets ! » Karen se retira et se mit debout sur la table du salon : « Aller lève-toi ; faisons un strip-tease ! » Karen attrapa la télécommande et poussa les sachets par terre, puis prit la main d’Amy l’entraînant sur la table et lança la musique. « Montre-moi ton body et ton déhanché de reine baby ! » Karen prit le pot de nutella et en étala légèrement sur les lèvres d’Amy : « Aller viens m’embrasser ! » La musique tel un club de strip-tease tournait encore et encore. Karen passa son bras derrière le cou d’Amy et colla son corps au sien, son autre descendit au niveau de sa taille et se frotta légèrement à elle, se déhanchant au fur et à mesure que la musique se déroulait. « Appelons les strips-teaseurs, ça va être hot ! » Dit-elle en rigolant, cette soirée allait être géniale !

Je n'arrêtais pas de rire comme une idiote quand elle insista tellement sur ses strip-teasers. Elle commençait vraiment à me tenter ! Non mais c'est vrai quoi, des mecs canons qui se foutaient à walp devant nous sans qu'on ait besoin de faire quoi que ce soit : le rêve à l'état brut. Bon, elle parlait de partouze, mais ça, ce n'était que s'ils étaient VRAIMENT canon. Parce que j'avais un peu la flemme. Mais pour l'instant je m'amusais comme une folle, me positionnant correctement sur le canapé quand elle me jeta sur ce dernier. Elle était vraiment malade, cette fille. Heureusement qu'il y'en avait des comme ça ici. Les Japonaises, je trouvais ça trop chiant. Enfin, depuis que je suis arrivée au Japon, je les trouve tellement coincé. Elles me regardent avec de gros yeux à chacune de mes blagues et une fini toujours par me murmurer « on ne dit pas ce genre de chose au Japon, Amy ! ». Ben le problème, c'est qu'on peut rien dire ici.

Comme une dingue je me jetais sur la nourriture qu'elle apportait. J'avais trop faim, sérieusement. Mais j'avais à peine le temps d'attraper quelque chose qu'elle m'allongeait sur le canapé et se mettait sur moi. Si elle me cherchait trop, c'est elle que j'allais manger. Je pris mon air aguicheur quand elle me demanda si je ne voulais pas retirer mon teeshirt, promettant que j'aurais « moins chaud ». Mais je n'avais même pas le droit de répondre qu'elle me tirait sur la table, mettant une musique plus ou moins hot sur laquelle se déchaîner. J’exagérais mes mouvements pour la faire rire, accentuant le petit déhanché osé, m'approchant au plus près d'elle, esquivant ses lèvres quand elle me demanda de l'embrasser. Je passais également mes bras autour d'elle, m'amusant à frotter mon corps contre le sien, souriant de plus belle quand elle parla une fois encore de nos amis les hommes nus.

-Mais appelle-les ! Je suis certaine qu'on va leur donner chaud plutôt que l'inverse.

Je partais dans un nouveau fou rire. Je les imaginais bien, certains ne pas avoir perdu leur soirée. En même temps, c'est vrai quoi, on est incroyablement bonne, non ? Sans arrêter de danser, je me rapprochais encore un peu d'elle, m'arrêtant à un centimètre de ses lèvres.

-Allez, sois plus chaude que ça Karen ! Je te pensais plus féline ! Tu me déçois.

Levant ma main vers elle, je glissais un tigrifique « groar » accompagné du geste avant de me reculer et de descendre de la table. Je retirais mon tee shirt comme une déesse grecque – bon okay je sais pas si elles retiraient leur teeshirt mais j'en ai rien à foutre – avant de le balancer sur Karen. Je m'amusais à prendre la pause puis j'attrapais son téléphone.

-Tu m'embrasses toi ou tu appelles les strip teasers. It's up to you Sweetie !

Un sourire radieux aux lèvres ; je lui fis signe en même temps de faire tomber le haut. Pas de raison que je sois toute seule !

Après avoir jeté Amy sur le canapé comme un sac à patate, Karen emmena la nourriture et s’affala dans le canapé puis chevaucha Amy. Karen passa sa main sous le haut d’Amy et remonta puis caressa ses hanches. Puis elle se redressa et alluma la musique plus ou moins hot, tel un club de strip-tease. Karen et Amy se mirent à faire des mouvements osés, en se déhanchant comme des bitchs en chaleur ! Karen posa ses bras autour de la taille d’Amy puis se frotta à elle, sensuellement et comme une pro sisi ! Amy fit la même chose, le sourire ne quitta pas leurs lèvres. « Mais appelle-les ! Je suis certaine qu'on va leur donner chaud plutôt que l'inverse. » Non pour plus tard, quand l’ambiance sera bien fun et caliente ! Les strip-teasers allaient bander sec en voyant les deux bombes qu’elles étaient. Amy s’arrêta à quelques centimètres des lèvres de Karen puis dit : « Allez, sois plus chaude que ça Karen ! Je te pensais plus féline ! Tu me déçois. » Amy lui fit le signe du lion et Karen lui sourit, sexy. Elle descendit de la table et retira son t-shirt, dévoilant son magnifique corps, enfin à moitié. Elle esquiva son t-shirt puis retira lentement et sensuellement son haut à son tour, elle le lança par terre en se mordant la lèvre. « -Tu m'embrasses toi ou tu appelles les strip teasers. It's up to you Sweetie ! » Karen retira également le bas, finissant en sous-vêtements sexy et tout en dentelle noire. Par la suite elle prit le portable d’Amy et le glissa dans son soutien-gorge, puis Karen attrapa la taille d’Amy et frôla ses lèvres avant de l’embrasser fougueusement, puis elle rompit le baiser : « J’exauce ton souhait bébé. Aller embrasse-moi ! Je n’attends que ça ! » Karen donna des coups de hanches à Amy et glissa sa main dans son bas et caressa les fesses de son amie, déposant ses lèvres dans son cou. Puis se retira et prit le téléphone, appelant les fameux strips-teasers ! Quelques minutes plus tard, elle raccrocha le sourire aux lèvres : « Ils viendront plus tard, dans la nuit aux environs de minuit, ambiance hot poupée ! Mais amusons-nous avant ok ?! » Karen posa le téléphone et remonta sur la table avec Amy et cola son corps au sien, se mettant à danser, une de ses mains étaient sur les hanches d’Amy et l’autre autour de son cou, embrassant son cou. « Montre-moi comment tu es une chaudasse bébé. » Chuchota-t-elle dans son oreille, un grain provocatrice. Lorsque la musique changea, Karen exagéra ses déhanchés tout en donnant des coups de bassins à Karen, souriant comme une débile !

Je devais me tenir pour ne pas rire, mais elle me calma en m'embrassant. Enfin, c'est sûr que mes lèvres emprisonnées de la sorte, ça ne me permettait pas vraiment de laisser libre cours à l'éclat sur restait coincé en moi. À la place, je répondis malicieusement à cette étreinte. Je laissais malgré-moi échapper un léger gémissement quand elle passa sous mon vêtement pour caresser mes fesses. Elle était vraiment déchaînée ce soir ! Mais ça promettait d'être vraiment fun. Je me mordis la lèvre inférieur en sentant les siennes dans mon cou, riant bêtement. Puis finalement, elle se décala, portant un téléphone à son oreille. Je soufflais tout en me redressant, me demandant qui elle appelait soudainement. Mais en écoutant sagement, je compris et souris de toutes mes dents. Ouh, les stripteasers !

Je souris quand elle revint avec moi, recommençant à danser sensuellement sur la table, puis contre elle, frottant mon corps contre le sien, glissant un regard langoureux sur elle. Je faisais pianoter mes doigts le long de sa taille, penchant légèrement la tête quand elle m'embrassait dans le cou. Cependant, sa remarque fit naître en moi une lueur de défis à relever. Elle voulait que je lui montre ? Et bien ça sera fait, mais il ne fallait pas regretter après. La musique changeait et j'accentuais ma danse, abusait mes mouvements, recevait ses coups de bassins avec amusement. Je me hissais doucement près de son visage, griffant son dos tandis que j'effleurais ses lèvres avant de les embrasser plus franchement, profitant d'un infime passage pour glisser ma langue qui retrouvait la sienne. Ma main remontait dans son cou pour me donner plus d'appuie et je continue avec malice ce baiser un peu trop érotique pour une soirée entre « copine ». Mais elle m'avait cherché !

-Attention Karen ! Une fois lancée je ne m'arrête plus.

J'appuyais mes paroles en lui prenant le bras et la jetant sur le canapé avant de la rejoindre, me mettant à califourchon sur elle. Je ne levais la tête qu'en entendant la chanson qui venait de changer pour un morceau plus calme mais plus sensuelle. Je souris en me rendant compte que ça tombait plutôt bien ! Mes mains glissaient le long de son ventre, effleurant ses seins tandis que j'allais dévorrer son cou, laissant une légère marque. Je n'avais jamais fait ce genre de truc avec une fille, et c'était plutôt drôle en fait ! Les hommes c'était certes moins compliqué, une fois qu'on prenait en mains la petite perche et c'est bon, ils étaient prêt. Ah, les hommes ! Mais nous n'en étions pas là. Je caressais sa cuisse avant de m'amuser à la glisser entre ses jambes, gardant son cou à porter de lèvres avant de me redresser, soudainement interloquer.

-EH mais meuf, t'es trop bien foutu ! Non mais tes cuisses sont tellement ferme, et tes seins ! Tu mets du combien ? Franchement, je veux tes seins.

Je me replaçais correctement, coupant le jeu pour l'observer, posant mes mains directement sur sa poitrine. Dommage qu'il y'avait le soutient-gorges, j'étais fascinée ! Ils n'étaient pas plus gros que les mains, mais ils avaient quelque chose que je n'avais pas. Peut-être un meilleur soutif ? Han, c'était tellement frustrant ! Continuant mon tâtage, je pris une mine boudeuse comme une enfant capricieuse en lâchant un « donne ! » avant d'éclater de rire.